« Hépatite C, GUÉRIE » est un récit autobiographique basé sur l'expérience vécue de Johnny Delirious, qui relate son combat contre le virus de l'hépatite C et sa guérison complète grâce à des thérapies naturelles et alternatives.
Le livre débute par le diagnostic dévastateur reçu par l'auteur en 1997 : il ne lui restait que huit mois à vivre et son foie était ravagé par la cirrhose, avec seulement 4 % de tissu sain. La médecine conventionnelle préconisait une transplantation hépatique immédiate. L'auteur, cependant, se méfiait de l'intervention, conscient du faible taux de survie à cinq ans des patients transplantés et déclarant : « Pour moi, c'était tout simplement le moyen le plus sûr de mourir dans cinq ans.»
Thèse et parcours :
La thèse centrale du livre est l'efficacité d'une approche naturelle, globale et rigoureuse face à un diagnostic terminal. Delirious refuse la transplantation et les traitements médicamenteux combinés, et entreprend un programme intensif de thérapies alternatives, fruit de ses propres recherches.
Son approche multifacettes comprenait :
Détoxification radicale : mise en œuvre de cures de désintoxication et de protocoles de thérapie Gerson, incluant des lavements au café à haut débit.
Thérapies électroniques : utilisation d’appareils tels que le « Zapper » (inspiré des théories parasitaires du Dr Hulda Clark) et la machine Rife (utilisant des fréquences oscillantes).
Alimentation et compléments alimentaires : respect strict d’un régime alimentaire puriste et riche en nutriments, complété par des composés naturels comme le chardon-Marie (silymarine), puis introduction de viande biologique pour régénérer les cellules hépatiques.
Oxygénation : suivi d’une oxygénothérapie hyperbare intensive.
Santé physique et mentale : entraînement rigoureux au kung-fu et à la course à pied, préparation d’un marathon, avec le soutien psychologique des Alcooliques Anonymes et d’un groupe de soutien pour les personnes atteintes d’hépatite.
Le livre se conclut par les résultats des analyses sanguines de l’auteur : la charge virale, qui dépassait autrefois les 5 millions, est désormais indétectable, indiquant l’éradication complète du virus de l’hépatite C.
